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Bian de l'Hippocampe
 
 
(18 ans)
181 cm / 78 kg
Origine Canada
Chevaliers des Mers
 

 
Techniques
 

Souffle Divin / God Breath
 
Lames de fond du Pacifique Nord / Rising Billows
 
Baian bombe son torse en serrant les poings, puis projette avec son Cosmos un souffle violent en direction de son adversaire comparable à une bourrasque. Seiya est facilement balayé en recevant cette attaque.   Baian crée un tourbillon à grande pression avec lequel il frappe sa cible, qui est alors projetée verticalement. La puissance de ce coup envoie Seiya depuis le fond de la Méditerranée jusqu'à la surface de la mer. Dans l'anime, Baian ouvre l'océan en deux derrière lui lorsqu'il fait cette technique, tandis que dans le manga il se contente de lever le bras verticalement.
 
     
Mur de protection    
   
À l'instar de Misty, Baian est capable de manipuler des courants d'air en décrivant des cercles avec ses mains à une vitesse proche de celle de la lumière de sorte à créer un mur de protection d'air qui bloque sans peine le Pegasus Ry?sei Ken. Les hautes capacités défensives de ce Marina sont aussi montrées lorsqu'il rattrape d'une seule main un Pegasus Suisei Ken (bien que celui-ci ne le visait pas directement). Malheureusement pour lui, Seiya a déjà été confronté à Misty, et l'humidité présente lui permet de voir les impacts créés sur le mur, et de comprendre ainsi qu'il s'agit d'une méthode de défense qu'il connaissait déjà.    
     
 
 
Déscription
 
Chevalier Marinas de l'armure de l'Hippocampe
Bian n'est pas un personnage au caractère très recherché. On pourrait même croire qu'étant le premier général à disparaître, son profil a été quelque peu bâclé.

Comme tous les ennemis des bronze saint, Bian s'avère sûr de sa force mais également de son écaille dont il pense sincèrement qu'elle rivalise avec une armure d'or ... ce qui est loin d'être le cas. Hormis cette assurance surfaite, Bian ne présente pas de traits de caractère foncièrement mauvais.

En même temps, il n'a pas vraiment le temps de les montrer.

Général Marinas de son état et dévoué à son Empereur Poséidon, Bian protège consciencieusement le pilier dont il a la charge, celui du Pacifique Nord, contre toutes menaces. Ainsi lorsqu'un des chevaliers d'Athéna arrive face au pilier, Bian se tient sur ses gardes mais en retrait. Ainsi, le chevalier de Pégase ne voyant pas Bian, celui-ci attaque de suite le pilier avec son Pegasus Ryu Seï Ken (un Pegasus Sui Seï Ken dans l'anime). Bian s'interpose en un éclair et stoppe l'attaque d'une seule main.

Bian dit alors au chevalier qu'il prend d'énormes risques en tentant de faire une égratignure à son pilier. S'il y parvenait, Bian lui assure qu'il n'aurait pas assez de sa vie pour le payer. A la demande du chevalier de Pégase, Bian se présente.
Après quoi il dit au chevalier que pour briser ce pilier il faudra l'abattre et lui demande s'il s'en croit capable. Pégase lui répond qu'importe ce qu'il croit, il doit le faire sans d'autres choix. Le combat débute immédiatement lorsque Pégase exécute son Pegasus Ryu Seï Ken.

Les météores s'écrasent sur la barrière de Bian sans inquiéter ce dernier. A peine l'attaque finie, Bian se déplace à une vitesse extrême dans le dos du chevalier et lui porte son God Breath (dans l'anime, il le paralyse auparavant). La puissante attaque fait mouche et envoie le chevalier s'écraser contre une colonne. Voyant son adversaire se relever avec difficultés, Bian ironise en lui disant qu'il est si faible qu'il ne lui suffit que de souffler pour le balayer de sa route. Toutefois Pégase se relève, concentre son cosmos et porte à nouveau son Pegasus Ryu Seï Ken.

Tout comme la première fois, les coups sont bloqués par la barrière de Bian. Cette fois, Bian ne prend même pas la peine de se déplacer dans le dos de Seiya et exécute une seconde fois son God Breath. Le chevalier est à nouveau envoyé se fracasser contre une colonne. Son ennemi se redressant, lui dit que son souffle est certes puissant mais qu'il ne parvient pas à le blesser sérieusement. Il lui dit qu'il devra être plus décisif s'il ne veut pas être vaincu au final. Accédant à la demande du chevalier, Bian exécute sa plus puissante attaque : le Riding Bellows. La surpuissante attaque expédie le chevalier à travers toute l'épaisseur de l'océan Pacifique nord pour le laisser à la surface. Pensant l'avoir achevé, Bian pense que le chevalier pourra nourrir les poissons des environs.

Alors qu'il tourne les talons, un éclair frappe le sol derrière Bian. Bian se retourne et voit avec stupéfaction le chevalier Pégase se tenir face à lui en vie mais essoufflé (dans l'anime Pégase n'est pas essoufflé). Le chevalier lui dit que pour sauver Athéna il est capable de revenir de n'importe où, même de l'enfer et il exécute une troisième fois son Pegasus Ryu Seï Ken.
Confiant en sa barrière, Bian lui demande s'il est stupide au point de s'épuiser toujours avec la même attaque lorsque soudain un des météores traverse la barrière et le touche. Pégase lui dit qu'il n'arrive pas à la cheville d'un chevalier d'or et qu'il va le lui montrer maintenant.

Stupéfait qu'un vulgaire bronze saint ait pu atteindre son corps, Bian dresse néanmoins une nouvelle fois sa barrière contre les météores de son ennemi. Cette fois ce n'est pas un mais plusieurs coups qu'il reçoit de plein fouet, le mettant au sol. En se relevant, Bian se demande si le chevalier ne serait pas immortel pour avoir survécu à son rising bellows. Alors que le chevalier lui dit que son armure a été ressuscitée par le sang des gold saint et est donc devenue une protection optimale, Bian voit l'armure de bronze briller tel de l'or un court instant. Le bronze saint ne lui laisse pas le temps de reprendre ses esprits et le frappe encore de ses météores. En se relevant une nouvelle fois, Bian comprend pourquoi la capacité de son adversaire à se protéger s'est accrue mais il ne comprend pas comment il peut le toucher maintenant.

Le chevalier Pégase lui dit que par le passé il a affronté un silver saint qui utilisait la même technique de protection que lui. Debout, Bian admet avoir sous-estimé son adversaire qui semble avoir eu l'expérience de nombreux combats. Toutefois il reste confiant car jamais il ne pourra le tuer sans détruire son écaille alors que celle-ci est aussi résistante qu'une gold cloth. A la grande stupeur de Bian, des fissures apparaissent soudain sur son écaille. Bian ne laisse pas le temps à son ennemi d'attaquer à nouveau et exécute un surpuissant God Breath.

A sa grande surprise, Seiya encaisse l'attaque en ne faisant que reculer de quelques mètres. Son adversaire lui dit qu'il lui a déjà envoyé cette attaque et qu'une même attaque ne fonctionne pas deux fois sur le même chevalier. Paniquant quelque peu, Bian décide d'utiliser sa plus puissante attaque, le Rising Bellows. Mais le chevalier ne lui en laisse pas le temps. Son armure brillant à nouveau d'or, il lui assène un surpuissant météore de Pégase qui pulvérise son écaille (dans l'anime, le chevalier de bronze du cygne les rejoint juste après le God Breath sans intervenir dans le combat. De plus Bian est tué non pas par un Pegasus Ryu Seï Ken mais par un Pegasus Sui Seï Ken).

Agonisant, face contre terre, Bian dit à Seiya de ne pas se réjouir trop vite de sa victoire. En effet, même s'il est parvenu à pousser son cosmos au même niveau que celui d'un gold saint, ça ne lui suffira pas pour abattre son pilier. Il lui dit que même avec la force cumulée de tous les chevaliers d'or ils ne parviendront même pas à entamer la surface du pilier et que malgré tout, les marinas sortiront vainqueurs. Après quoi Bian succombe à ses blessures.

 
 
 
 
Armures
 

Box de l'étoile de l'Hippocampe

Armure de l'étoile de l'Hippocampe

Chevalier de l'étoile de l'Hippocampe
 
 
   
 
 
Pilier Océan Pacifique Nord
 
L'océan Pacifique est l'océan le plus vaste du globe terrestre. Il s'étend sur une surface de 166 241 700 km2, soit environ un tiers de la surface totale de la Terre. Il comprend entièrement l'Océanie et quelques autres îles et archipels qui traditionnellement font partie de l'Asie (Japon, Philippines, Insulinde). Il est entouré par l'Asie, l'Australie et l'Amérique, alors que sa limite avec l'océan Austral au sud.

On retrouve dans le Pacifique des systèmes météorologiques semi-permanents comme les anticyclones de l'île de Pâques et d'Hawaï ainsi que les dépressions des Aléoutiennes qui sont le reflet de la circulation atmosphérique générale2,3. Son vaste bassin est régulièrement traversé par le plus grand nombre de cyclones tropicaux de tous les bassins océaniques4. Ils sont nommés ouragans dans l'est, typhons dans le nord-ouest et cyclones dans le sud-ouest.

Près de l'équateur, on retrouve la zone de convergence intertropicale et les alizés dont la position change avec les saisons, jouant un très grand rôle sur la pluviométrie de la région tropicale et la navigation maritime.

Le Pacifique sud est parcouru par une oscillation thermique encore mal expliquée connue sous le nom d'El Niño (tous les deux à cinq ans, contrecarré par La Nina), qui exerce une influence importante sur le climat. El Nino, et son pendant atmosphérique, l'oscillation australe, donnent le phénomène appelé ENSO qui est la variation climatique la plus importante de cet océan. L'effet de ce dernier se reflète non seulement dans tout son bassin mais également déborde vers les autres régions du globe par le déplacement de la circulation atmosphérique qu'il cause.Le Pacifique est aussi le siège de variations plus complexes : il s'y produit des phénomènes à hautes fréquences (oscillation de Madden-Julian à 60-90 jours) et d'autres à très basses fréquences (son état moyen variant sur plusieurs décennies ou siècles). Ces variations ont un effet de modulation sur ENSO et en compliquent l'analyse

 
Histoire

Les premiers Océaniens à avoir découvert et peuplé les îles du Pacifique il y a 45 000 ans sont arrivés en voilier.

Les Océaniens maitrisaient des voiliers, pirogues et catamarans à voile qui avaient la particularité de pouvoir remonter au près du vent (se déplacer non pas face au vent mais vers le secteur d'où il vient). Cet avantage technique décisif par rapport aux voiliers occidentaux, arrivés bien plus tard, qui ne pouvait naviguer qu'au portant (le vent venant du secteur arrière pousse le bateau) leur permettait d'explorer la mer d'une façon systématique et particulièrement efficace: Partant d'une île, louvoyant rapidement face au vent sur des centaines de miles, ils balayaient par de larges lacets un territoire bien plus vaste qu'un gros voilier traçant une ligne directe dépendante de la direction du vent. Ce faisant, les Océaniens finirent par découvrir un à un des atolls minuscules jusqu'au dernier, au milieu de l'océan Pacifique, le plus grand au monde. Ils les peuplèrent lentement en développant une culture originale à chaque îlot habité mais nourris, contrairement aux idées reçues, par des échanges permanents et des valeurs souvent communes[réf. souhaitée].

Les premiers Européens à "redécouvrir" le Pacifique furent les membres de l'expédition de Vasco Núñez de Balboa qui l'aperçurent en 1513 après leur traversée de l'Isthme de Panama. Il le baptise alors mer du Sud, parce qu'elle se situe au sud de l'isthme de Panama. Ce nom prévaudra longtemps sur le nom de Magellan qui ne s'imposera qu'à la fin du XIXe siècle.

Le premier Européen à y avoir navigué fut le Portugais Magellan en novembre 1520 qui le baptisa « Pacifique » à cause du temps calme qu'il rencontra pendant sa traversée de la Terre de Feu jusqu'aux îles Mariannes, puis aux futures Philippines, traversée de trois mois et vingt jours.

Au XVIIIe siècle, le nom d’« océan Pacifique » ne s’appliquait qu’à la partie sud de l’océan, la partie nord étant appelée « océan Septentrional ».
Image Océan Pacifique Nord
 
 
Références et mythologie
 
Les hippocampes cheval courbé), aussi appelés "chevaux des mers", sont des créatures marines qui apparaissent dans la mythologie grecque et sont réutilisées par les étrusques. Le haut de leur corps est celui d'un cheval, tandis que la partie inférieure se termine en queue de poisson au lieu de pattes. Ils tirent le char de Poséidon, dieu des océans aussi considéré comme le dieu des chevaux depuis qu'il en a créé un lors de sa dispute avec Athéna au sujet de la ville d'Athènes. Ces créatures sont physiologiquement assez proche du Capricorne (lui aussi pourvu d'une queue de poisson), bien que certaines œuvres d'art en fassent des chevaux ailés, comme ceux qui figurent sur la fontaine du Trevi à Rome. Les hippocampes sont fréquemment représentés comme sculptures associées à Poséidon, et figuraient souvent sur les mosaïques des bains romains. En héraldique, on peut les retrouver sur les blasons des personnes ou lieux affiliés à la mer. De nos jours, les termes hippocampe et hippocampus se réfèrent à l'animal réel, tandis que la créature mythologique est principalement nommée "cheval des mers". Les hippocampes (animaux) sont de petits poissons à la forme très particulière qui se nourrissent en aspirant ce qui passe près d'eux avec leur bouche en forme de tuyau, et partagent aussi aussi le surnom de "chevaux des mers".

Pour la Scale du Cheval des Mers, Kurumada s'est visiblement basé sur les représentations ailées de la créature, mais n'a pas conservé le corps terminé par une queue de poisson et en a plutôt fait un cheval doté de tous ses membres. On notera que sa représentation du Capricorne est aussi dépourvue de son attribut piscal. Le God Breath ne fait pas allusion au cheval des mers mythologique, mais plutôt à l'animal et à sa façon de se nourrir. Les flots de l'océan qui se sépare en deux du Rising Billows font penser à Poséidon qui sort de la mer sur son char tiré par des hippocampes.

Baian est né au Canada, pays qui partage son littoral avec la partie nord de l'océan pacifique, ce qui correspond au pilier qu'il protège.

 
 
 

 

 

 
 



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