Siegfried de Dubhe | | (19 ans) 195 cm / 85 kg Origine Asgard Chevaliers d'Asgard | | | | | Techniques | l'Epée d'Odin / Odin Sword | | les Flammes du Dragon / Dragon Bravest Blizzard | | | | Siegfried pointe son index en direction de son adversaire, et trace à distance un cercle sur le sol qui entoure sa cible. Quand ce cercle est fini, une violente décharge d'énergie remplit verticalement l'intérieur de cette zone en partant du sol, et de plus les débris rocheux pointus ainsi créés lacèrent l'adversaire. | | Siegfried intensifie son Cosmos, créant ainsi des éclairs autour de son corps, puis il concentre cette énergie dans ses poings et projette un coup très puissant avec ses deux bras. L'exécution de ce coup ressemble en fait au Rozan Sh? Ry? Ha deShiry? et possède surtout le même point faible : Siegfried abaisse inconsciemment son bras gauche pendant un mince instant, laissant ainsi son cœur à découvert. Dans le cas de Shiry? cet intervalle est d'un millième de seconde, mais pour Siegfried il n'est que d'un cent millième de seconde. | | | | Technique Kamikaze | | Invincibilité | | | | Cette technique est en tout point comparable au Rozan Kô Ryû Ha du chevalier de bronze Shiryu du Dragon, à la différence près qu'au lieu de se propulser vers les étoiles, c'est l'étoile Alpha de la Grande Ourse qui émet une colonne d'énergie et tracte donc Siegfried vers elle. Mais le résultat est le même. Le frottement de l'air est censé pulvériser et l'ennemi de Siegfried et Siegfried lui-même. | | Siegfried possède l'immortalité de son ancêtre légendaire, et tout comme lui son unique point faible se situe au niveau du cœur, au même endroit que Shiry?. Il est difficile de savoir de quelle manière cette immortalité doit être interprétée. Si on prend ceci au pied de la lettre, alors personne ne peut tuer Siegfried à moins de frapper son point faible, et ce quelle que soit l'intensité du Cosmos de l'attaquant. On peut voir qu'une sorte de barrière de Cosmos entoure Siegfried lorsque Seiya tente de l'attaquer, ce qui peut faire réfléchir à une seconde interprétation qui serait que Siegfried n'est pas réellement immortel, mais possède un Cosmos si puissant que le seul moyen d'en venir à bout semble être l'utilisation de son point faible. En partant sur ce point de vue, on pourrait alors supposer que des personnes possédant un Cosmos supérieur à Siegfried peuvent tout à fait le blesser d'une façon normale. Impossible de dire quelle interprétation est correcte. | | | | | Déscription | Chevalier d'Asgard de l'armure Dubhe | | Siegfried est depuis toujours au service d'Hilda à laquelle il est très dévoué. Ainsi lorsque celle-ci le fait guerrier divin, son dévouement s'en trouve renforcé. Etant complètement aveugle aux changements dans la personnalité d'Hilda, Siegfried la sert et obéit à ses ordres sans réserve. Même s'il s'avère aveugle au comportement d'Hilda, il sait parfaitement qu'Albérich de Megrez est un fourbe et se méfie donc de lui. Bien que se sachant quasiment invulnérable, cela ne l'empêche pas de reconnaître la force ou le courage de ses adversaires. Lorsqu'il apprendra la vérité, Siegfried se sacrifiera dans un dernier souffle de vie dans l'espoir de venger ses compagnons tombés au combat suite aux manipulations de Poséidon. | On ne sait absolument rien quant aux origines de Siegfried. S'il est fils de noble ou simple orphelin recueilli par la cour. Tant est si bien que depuis son plus jeune âge, Siegfried sert la princesse Hilda. Habitant d'Asgard, un beau jour Siegfried se voit doté de l'armure divine de Dubhe, l'étoile Alpha, par la prêtresse Hilda, gouvernante d'Asgard au nom du dieu Odin. Devenu dès lors guerrier divin, Siegfried se rend au palais d'Hilda où il s'agenouille devant elle en signe d'allégeance. Par ses discours, elle galvanise ses troupes et leur promet des jours meilleurs après avoir conquis le Sanctuaire d'Athéna. Quelques jours plus tard, la princesse Freya, la soeur d'Hilda, est portée disparue. Siegfried informe Hilda que Freya aurait suivi un saint d'Athéna. Cette information est confirmée peu de temps après par l'arrivée d'un de leurs gardes qui leur rapporte l'échauffourée qui a eu lieu avec un bronze saint. Hilda décide de se rendre à leur rencontre accompagnée des sept guerriers divins, Siegfried compris. Ils ne tardent pas à trouver la déesse Athéna accompagnée de trois de ses bronze saint. La tension monte d'un cran dès lors qu'Hilda agresse littéralement Athéna par l'intermédiaire de boules d'énergie. Siegfried confronte son cosmos à celui du chevalier de bronze Seiya de Pégase. Finalement Hilda se lasse de la résistance de la déesse grecque et cesse les hostilités. Des échanges de paroles ont alors lieu entre les deux parties sans que Siegfried n'y participe. En revanche, lorsque les bronze saint d'Athéna remontent de l'autel à toute allure, Siegfried, et d'autres guerriers divins, se mettent en travers de leur chemin. Mais Hilda leur ordonne de les laisser passer. Après quoi elle se retire et Siegfried la suit ainsi que les six autres guerriers divins. Revenu au Walhalla, Siegfried reporte à Hilda le déroulement du combat de Thor de Phecda contre les trois chevaliers de bronze, mais en revanche il ne peut rapporter ce qui se dit puisque le vent gelé d'Asgard souffle trop fort et seuls les cris des saint sont entendus. Il revient la voir peu de temps après pour l'informer que Thor rencontre des problèmes et qu'il a du mal à se débarrasser des bronze saint, ce qui ne manque pas d'irriter Hilda. Il revient la voir encore une fois pour lui dire que Thor a de plus en plus de mal face aux chevaliers de bronze et Hilda, en colère, lui demande de se préparer au combat. Peu de temps après, c'est le guerrier divin Albérich qui vient informer Siegfried de la mort de Thor, vaincu par le chevalier de bronze Seiya de Pégase. Contrarié, Siegfried traite Thor d'imbécile pour avoir sous-estimé son adversaire. Albérich l'informe que les quatre chevaliers de bronze se sont séparés et qu'ils avancent séparément vers le temple Walhalla. Siegfried se demande alors s'ils ne sont pas fous. Hilda l'interpelle et lui demande ce qui se passe. Siegfried lui ment en lui disant qu'il ne s'agit là de rien d'important. Hilda lui répond qu'elle le laisse s'en charger alors et de montrer aux saint d'Athéna combien les guerriers divins leur sont supérieurs. Fièrement, Siegfried lui affirme que même seul, il pourrait les anéantir et que les guerriers divins prouveront leur suprématie. Puis il lui révèle que Fenrir est déjà parti les défier. Hilda sen réjouit alors qu'Albérich et Siegfried s'échangent un regard complice. Encore un peu plus tard, alors que Siegfried est encore agenouillé auprès de la princesse Hilda aux côtés du guerrier divin Syd de Mizar, Albérich les rejoint à nouveau et les informe que Fenrir a été vaincu, ce qui ne manque pas d'étonner Siegfried. A ce moment Syd admet que les saint d'Athéna ont des pouvoirs presque identiques aux leurs et que Thor et Fenrir les ont sous-estimés. A ce moment, la princesse Hilda demande une fois de plus à Siegfried s'il a des nouvelles de Freya. Siegfried lui répond que Freya se trouve toujours aux côtés d'Athéna ... ce qui ne manque pas d'énerver la princesse Hilda. Une heure s'écoule ; la princesse Hilda décèle la disparition du cosmos de Hagen de Merak. Siegfried tente de la rassurer en lui certifiant que les chevaliers ne s'en sont pas sortis indemnes. Les chevaliers du Dragon, du Cygne et de Pégase sont blessés et ne parviendront jamais jusqu'au Temple Walhalla. Hilda est rassurée et jouit à l'idée de la mort inutile d'Athéna. Quelques instants plus tard, Hilda interpelle à nouveau Siegfried car elle apprend que Mime de Benetnash ne s'est toujours pas débarrassé du chevalier Andromède. Siegfried la rassure en lui rappelant que Mime est le fils de l'ancien guerrier le plus puissant d'Asgard : Volker. Ses techniques surpassant largement celles de son père, Mime est probablement l'un des hommes les plus dangereux au monde. Hilda en rit et aime à penser que Mime s'amuse avec le chevalier d'Athéna. Albérich rejoint Siegfried, en compagnie de Syd, et les informe de la mort de Mime. Syd s'énerve et décide de tous les tuer. Siegfried le calme car ils ne peuvent à nouveau déranger la princesse Hilda. Il décide que c'est donc à lui de s'en charger. Albérich ricane et demande si les protecteurs d'Hilda sont si stupides ? Il prétend que si cela continue, ils se jetteront dans le combat, pleins d'orgueil et de confiance et qu'eux-mêmes subiront le même sort que cet incapable de Mime. Syd prend très mal les paroles d'Albérich et Siegfried est forcé de le retenir pour qu'ils ne se battent pas. Albérich continue sur le même ton et dit qu'être très fort et maîtriser les techniques de combat les plus puissantes possibles ne suffit pas. Siegfried lui demande ce qu'il propose à ce moment. Albérich lui répond que l'important c'est de vaincre et que pour ça tous les moyens sont bons. Il finit en assurant qu'il va leur montrer comment éliminer jusqu'au dernier de ces chevaliers. Siegfried et Albérich échangent alors un regard glacial. C'est alors qu'Hilda fait irruption et demande à Siegfried s'il est bien vrai que Mime a été vaincu. Tous se retournent et s'agenouillent, tandis que Siegfried lui confirme que Mime a bel et bien été vaincu. La princesse Hilda lui demande alors si les chevaliers sont si terrifiants. Siegfried lui répond qu'ils ne le sont pas vraiment et qu'ils n'ont eu simplement que de la chance jusque-là. C'est alors qu'Albérich se permet d'intervenir auprès d'Hilda et lui fait part de son plan pour défaire les chevaliers. Siegfried jette un nouveau regard glacial en direction d'Albérich par-dessus son épaule auquel Albérich répond par un sourire. La princesse Hilda décide de lui accorder toute sa confiance et lui permet d'exécuter ses plans, puis se retire. Après le départ d'Hilda, Albérich se relève, dépasse Siegfried et augmente son cosmos, défiant Siegfried, puis il part. Quelques minutes plus tard, Syd demande à un garde si Albérich a déjà commencé son combat. Siegfried, quant à lui, pense qu'Albérich se fera également vaincre et deviendra une vulgaire statue de glace. Cette idée le fait sourire car si tel est le cas, il pourra reprendre le commandement des guerriers divins. Un peu plus tard, Syd l'informe qu'Albérich a déjà dressé deux blocs d'améthyste et qu'il domine son troisième combat contre le chevalier du Cygne. Siegfried est surpris d'apprendre qu'Albérich a déjà vaincu deux de leurs adversaires. Syd lui demande ce qu'ils devront faire. Siegfried lui répond posément que si Albérich parvient à ses fins, ils devront tout simplement s'en réjouir. En apprenant la mort d'Albérich, Hilda devient furieuse mais Syd semble la calmer en lui assurant pouvoir se débarrasser de leurs ennemis. Peu de temps après le départ de Syd, suivant toujours Hilda, Siegfried tente de rassurer cette dernière après avoir ressenti l'intrusion d'un des chevaliers d'Athéna à l'intérieur du Walhalla. Il lui assure que Syd va vite l'éliminer car parmi les guerriers divins il est sûrement le plus puissant, après lui. Il lui dit aussi qu'ils peuvent lui faire confiance. Hilda lui répond ironiquement que même lui ne soupçonne pas l'étendue de la puissance de Syd. Siegfried est surpris par ce que vient de dire Hilda mais cette dernière lui assure qu'il comprendra bientôt. Effectivement il comprend ce qu'Hilda sous-entendait lorsque un guerrier inconnu de Siegfried entre en lice après la mort de Syd au cours de son combat contre le chevalier Andromède. Sur un des balcons du Walhalla, toujours à la suite d'Hilda, Siegfried s'étonne de l'existence de cet homme qui se fait appeler Bud d'Alcor. Hilda lui répond que pour tromper ses ennemis il faut commencer par tromper ses amis et continue en lui disant que la seule chose qui compte est d'éliminer les chevaliers. Alors que ce soit Syd ou Bud qui le fasse, cela n'a aucune importance. Quelques minutes plus tard, alors que Siegfried et Hilda se sont rendus dans les jardins du Walhalla, cette dernière lui apprend que Bud est le frère de Syd. Toutefois Siegfried dit que Bud n'est que l'ombre de Syd et qu'il n'est donc pas un véritable guerrier divin. Il proclame alors que si la princesse Hilda doit envoyer un homme au combat, elle devrait l'y envoyer lui. Alors qu'il se relève, Hilda lui demande d'attendre et lui rappelles ce qu'Albérich répétait sans cesse : pour remporter la victoire, tous les moyens sont bons ! Siegfried est désappointé par ces paroles qui ne ressemblent pas à l'Hilda d'autrefois. Celle-ci s'énerve et lui demande s'il oserait lui désobéir, et ce sur un ton des plus menaçant. Surpris, terrifié même, Siegfried se remet à genoux devant elle. Peu de temps après, Hilda devient furieuse en apprenant que Bud a déserté le combat. Siegfried signale que c'était une erreur de placer sa confiance dans un homme tel que lui. Il dit que ce n'était qu'une ombre et non un vrai guerrier divin. Hilda se retourne vers lui et lui demande s'il la protégera jusqu'à la fin. Siegfried relève la tête et fait le serment de la protéger jusqu'à la mort. Il se rend donc sur la place de la statue d'Odin qu'il sait être la destination des chevaliers. Il y attend Seiya et se présente à lui avant d'exprimer sa surprise de voir un chevalier arriver jusqu'ici. Il l'en félicite donc. Seiya lui répond que s'il est venu jusqu'ici c'est pour lui enlever son saphir d'Odin pour sauver Athéna et délivrer Hilda actuellement sous l'emprise du mal via l'anneau des Nibelungen. Enervé par les dires du chevalier de bronze, Siegfried lui répond que c'est absurde et lui demande comment il peut insulter la princesse Hilda alors qu'elle est la digne représentante d'Odin. Il lui demande également qui pourrait être assez puissant pour contrôler son esprit. Quoi qu'il en soit, Siegfried promet à son adversaire de lui faire payer ces calomnies et que malgré ses blessures il ne montrera aucune pitié ! Irrité, le bronze saint lui rétorque qu'il n'attend pas de compassion de ses adversaires et avertit Siegfried de se mettre en garde avant de lui asséner son Pegasus Ryu Seï Ken. Siegfried se concentre et crée une sorte d'aura qui encaisse les coups sans faillir. Voyant la stupéfaction de son adversaire, Siegfried lui dit que même s'il l'avait laissé frapper son armure divine, ses coups n'auraient pas réussi à le blesser ! Le chevalier lui saute alors dessus d'un coup de pied sauté. Siegfried l'esquive et frappe son ennemi au ventre de plusieurs coups de poing qui l'envoient au tapis. Laissant Seiya se relever, Siegfried lui explique qu'il a battu nombre de guerriers divins et que malgré ses blessures, il est parvenu jusqu'ici. Il ajoute qu'il attendait ce combat mais malheureusement il craint devoir déjà y mettre fin. Siegfried exécute alors son Odin Sword, trace un cercle lumineux sur le sol autour de Seiya. Une colonne en est produite qui propulse le saint dans les airs avant de le frapper de nombreux débris à sa chute. Le chevalier de Pégase retombe au sol, inconscient, sous les yeux des chevaliers de bronze du Phénix, du Cygne et d'Andromède tout juste arrivés. Ikki du Phénix s'avance et confie le sort de Hyoga du Cygne très affaibli à Shun d'Andromède tandis qu'il battra Siegfried. Le bronze saint fonce alors sur Siegfried qui esquive tous les coups surpuissants de son assaillant. Une fois que ce dernier eût fini, Siegfried lui dit que certes il est le dernier guerrier divin encore debout mais jamais il ne les laissera atteindre leur but. Puis Siegfried se déplace à une vitesse extrême dans le dos d'Ikki et lui assène un coup de poing surpuissant qui le fait traverser un pilier avant de s'écraser contre un mur et de retomber face contre sol. Néanmoins le chevalier ne s'avoue pas vaincu et s'élance vers Siegfried lui même élancé dans les airs. Siegfried bloque le coup de poing et projette le saint. Celui-ci se réceptionne et revient à l'assaut. Siegfried le réceptionne alors avec un second coup surpuissant qui repousse une nouvelle fois son adversaire. Mais le bronze saint n'a pas dit son dernier mot et revient une nouvelle fois au corps à corps. Plusieurs échanges ont ainsi lieu jusqu'à ce que Siegfried prenne définitivement le dessus, se servant du chevalier du Phénix comme d'un punching ball, ne lui laissant pas le temps de souffler. Son adversaire au sol, Siegfried concentre un coup pour l'achever mais au dernier moment Ikki esquive l'attaque et prend Siegfried à revers. Tous deux s'échange le plus puissant coup de poing possible avant de poser pied sur le haut d'une colonne. Siegfried dit alors à son adversaire que tous ceux qu'il a combattus par le passé n'étaient rien face au légendaire Siegfried ! Le bronze saint crache du sang avant de tomber de la colonne, face contre sol. Ce chevalier étant hors d'état de nuire, Siegfried descend de la colonne et franchit les marches en direction des chevaliers du Cygne et d'Andromède. Arrivé à bonne distance, Siegfried tente de les frapper mais tous ses coups s'écrasent sur le Rolling Defense érigé par Andromède. Satisfait de voir l'efficacité des chaînes d'Andromède en action, Siegfried prétend que leurs chances de victoire sont réduites à néant face à lui. Il exécute alors une seconde fois son Odin Sword autour des deux bronze saint et leur fait subir le même sort qu'à Pégase. Ses quatre adversaires étant hors d'état de nuire, Siegfried se permet de ramasser le saphir qui appartenait à Hagen échappé par Pégase. Il estime que sa mort n'aura pas été vaine. Il se souvient alors du jour où Hagen avait affirmé aux princesses Hilda et Freya que lui et Siegfried seront choisis pour incarner les guerriers divins le jour où ils renaîtront. Etant resté seul avec la princesse Hilda, cette dernière lui avait confié que le retour des guerriers divins signifierait qu'une guerre s'abattrait sur Asgard mais qu'elle espérait de tout son coeur ne jamais voir ce jour arriver. Qu'elle souhaitait seulement vivre en paix avec son peuple. C'est alors que le chevalier Pégase revient à lui et déclare que leur combat n'est pas encore terminé. Siegfried lui répond que c'est inutile. Alors qu'il s'apprête à faire subir à son adversaire une seconde fois son Odin Sword, il est interrompu par Phénix qui a rampé jusqu'à lui pour lui saisir une cheville. Siegfried se libère le pied et se retourne vers Ikki pour lui donner un coup de talon lorsqu'il est frappé de dos par le Pegasus Ryu Seï Ken de Seiya. Plus surpris qu'autre chose, Siegfried se retourne vers son agresseur, furieux. La colère cède la place à l'étonnement en voyant Pégase concentrer son cosmos malgré ses blessures. Devant cette volonté inébranlable, Siegfried commence quelque peu à douter et se remémore une scène passée. La princesse Freya était venue le voir pour lui expliquer que la princesse Hilda semblait comme habitée par le mal, qu'elle était très différente d'autrefois et que ses ambitions nouvelles les faisaient courir à leur perte. La princesse Freya lui avait alors supplié d'aider Hilda. Siegfried lui avait répondu qu'il protégerait la princesse Hilda quelles que soient les circonstances et que si cela était nécessaire, il périrait avec elle. Lui ayant juré fidélité, Siegfried ne peut revenir sur sa décision. Il dit alors à Seiya de cesser de se relever car ce faisant, il ne fait que prolonger ses souffrances. Siegfried lui demande de le laisser l'envoyer en Enfer retrouver Athéna et ses amis. Puis Siegfried exécute sa plus puissante attaque : le Dragon Bravest Blizzard. Bien que la femme chevalier juste arrivée s'interpose entre lui et Seiya, la surpuissante attaque les met tous deux K.O., laissant le chevalier Shiryu du Dragon, venu grâce à l'aide de la femme, seul face à Siegfried. Voyant que le chevalier du Dragon se met en garde prêt à le combattre, Siegfried rit et lui demande s'il pense pouvoir le battre sans son armure. Pour toute réponse, Siegfried voit arriver un puissant coup. Il croise les bras et recrée son espèce d'aura pour s'en protéger. Il fait de même lorsque Shiryu lui assène un coup de pied sauté. Siegfried ricane et proclame que personne au monde ne pourra jamais le blesser. Le chevalier lui fonce à nouveau dessus et tous deux s'échangent des coups, des contres et autres esquives jusqu'à ce que Shiryu tente de lui porter un puissant coup de poing. Siegfried stoppe le poing du chevalier une nouvelle fois grâce à son aura. Il lui répète qu'il ne pourra jamais lui porter un seul coup avant de se jeter sur lui et lui porter nombre de coups. Son adversaire les bloque ou les esquive tous jusqu'à ce que Siegfried lui porte un coup de genou au menton. Le bronze saint se relève et enflamme son cosmos, faisant apparaître un dragon sur son dos à la surprise de Siegfried. Le chevalier exécute alors son Rozan Sho Ryu Ha. Siegfried concentre à nouveau son aura et repousse Shiryu, certes sans le blesser mais sans lui permettre non plus de porter son attaque. Siegfried lui dit alors qu'Athéna va bientôt mourir et qu'il ira la rejoindre aux cieux pour la servir. Puis il exécute une nouvelle fois son Odin Sword. Le chevalier est pris dans la colonne d'énergie et de débris. Ayant subi sans son armure la pleine puissance de l'attaque, le chevalier provoque encore Siegfried qui lui fonce alors dessus en lui portant un coup de poing. Le saint esquive, passe dans le dos de Siegfried et l'immobilise en l'empoignant. Le sentant concentrer son cosmos, Siegfried lui demande s'il compte exploser avec son cosmos. Shiryu lui répond qu'il est déjà mort une fois et qu'il ne meurt jamais seul. Alors qu'il est à la totale merci de son adversaire, Siegfried sent que le cosmos de ce dernier baisse soudain. Il se libère alors d'un coup de coude et s'écarte du chevalier. Siegfried lui demande alors de constater que seul son poing mérite d'être appelé "poing du dragon" et il exécute pour la seconde fois son Dragon Bravest Blizzard. L'attaque frappe le chevalier de bronze de plein fouet et Siegfried rit de le voir inanimé après l'attaque. Pensant en avoir ainsi fini, Siegfried tourne les talons au moment même où il aperçoit du coin de l'oeil le chevalier du Dragon commencer à se relever. Siegfried s'en étonne puisque son adversaire a subi sa plus terrible attaque et ce sans son armure. Ce dernier lui dit qu'il ne peut mourir maintenant et qu'il a vu l'unique moyen de le battre. Intrigué par les dires du chevalier qui affirme que l'épée à double tranchant est la meilleure épée mais qu'elle peut être dangereuse pour celui qui l'utilisé, Siegfried lui répond que s'il encaisses une nouvelle fois son attaque, il ne pourra plus se relever. Puis en deux bonds, Siegfried monte sur la place supérieure rejoindre Shiryu. Face au chevalier pleinement concentré sur ses gestes, Siegfried exécute une nouvelle fois son Dragon Bravest Blizzard. Comme à chaque fois, Siegfried baisse inconsciemment son poing gauche pour dégager plus de puissance mais il laisse alors son coeur sans protection, ce qu'aperçoit le chevalier. Ce dernier exécute alors son Rozan Sho Ryu Ha et frappe Siegfried en pleine poitrine tandis que celui-ci le frappe en plein visage. Le chevalier est projeté en arrière et atterrit face contre sol, son sang se répandant autour de lui alors que Siegfried, furieux, est repoussé tout en portant une main sur son coeur. Quelques minutes s'écoulent durant lesquelles Siegfried semble immobile, prostré dans une colère sourde. Il écoute ce que Shiryu dit à Seiya au sujet de son point faible. Puis il se relève et félicite Shiryu. Néanmoins il lui affirme que pour que son pitoyable Rozan Sho Ryu Ha atteigne son coeur, il faudrait encore qu'il puisse traverser son armure divine. Il enlève alors sa main de sa poitrine et découvre que l'armure est seulement fendillée. Tout en se relevant une dernière fois le chevalier du Dragon lui dit que ça suffit, qu'il a accompli sa mission car même s'il ne peut plus le battre, il a réussi à montrer son point faible au chevalier Pégase. Puis Shiryu s'effondre. Avec grande stupéfaction, Siegfried reconnaît en son for intérieur que Shiryu est un homme exceptionnel. C'est alors que le chevalier Pégase se relève à nouveau, surprenant Siegfried par la ténacité dont ils font tous preuve et par leur fort sentiment d'amitié. Il en vient même à se dire qu'il aurait aimé qu'ils ne soient pas ennemis. Reprenant ses esprits, Siegfried s'adresse au chevalier Pégase et l'avertit qu'il va utiliser sa plus puissante attaque et que sa main gauche va certes se baisser. Mais si Shiryu n'était vulnérable qu'un millième de secondes, Siegfried affirme que lui ne le sera qu'un cent millièmes de secondes. Il lui demande alors s'il pense être apte à le frapper au coeur en un si court instant. Même s'il aperçoit son point faible, Siegfried continue son travail de sape de moral en lui assurant qu'il aura déjà succombé à son attaque, tout comme Shiryu. Siegfried reconnaît que c'est la première fois qu'il redoute un adversaire. Cependant il est persuadé que Pégase ne ternira pas la réputation du grand Siegfried. Il relève donc le défi et fonce sur le bronze saint avec son Dragon Bravest Blizzard. Le chevalier guette le moment opportun et réplique avec son Pegasus Ryu Seï Ken. Le chevalier est frappé de plein fouet et se retrouve face contre terre. Siegfried ricane et constate qu'aucun miracle ne semble s'être produit. Il déchante vite lorsque son armure se fend à plusieurs endroits près du coeur en contrecoup de l'offensive du chevalier. Siegfried est stupéfait car il pensait avoir évité tous les coups du Pegasus Ryu Seï Ken. Toutefois il se rassure, pensant que maintenant c'est fini en voyant Pégase inerte. A la grande surprise de Siegfried, le chevalier se relève quelques secondes plus tard. Il aperçoit alors avec stupeur l'étrange cosmos émaner de Pégase, composé de ceux de ses amis et de celui d'Athéna. Siegfried se demande alors s'il s'agit là du pouvoir de l'amitié en lequel croient tant ces chevaliers et qu'ils veulent lui prouver. Les ayant rejoint sur la place, Hilda interpelle Siegfried et lui demande pourquoi il hésite tant et lui ordonne de les éliminer au plus vite. Siegfried ne réagit qu'au moment où Hilda, impatiente, émet un rayon mortel en direction du chevalier. Il tend la main et intercepte le rayon. La main en sang, Siegfried lui dit que c'est inutile qu'elle y prenne part. Hilda lui demande alors s'il oserait la trahir. Siegfried lui assure qu'il lui est dévoué corps et âme. Qu'il la suivrait jusqu'en enfer s'il le fallait. Mais avant tout il affirme que c'est à lui de mener ce combat car il aimerait voir de ses propres yeux la véritable puissance de Pégase. Voyant ce dernier se mettre en garde, il lui dit que s'il le frappe une fois encore avec sa technique, ça lui sera fatal. Le chevalier ne répond pas et concentre son cosmos. Admirant son courage, Siegfried fait de même. Puis tous deux courent l'un vers l'autre et Siegfried déclenche une dernière fois son Dragon Bravest Blizzard auquel réplique Seiya par son Pegasus Ryu Seï Ken. Les deux attaques se confrontent mais le Pegasus Ryu Seï Ken ne tarde pas à repousser le Dragon Bravest Blizzard. Son adversaire finit par créer un petit Big Bang qui frappe Siegfried de toutes parts. Finalement la partie de son armure déjà fragilisée est pulvérisée et Siegfried est directement frappé au coeur. Il mord la poussière, immobile. Siegfried revient à lui quelques secondes plus tard alors qu'un nouveau venu, un certain Sorento de la Sirène, général des mers au service de Poséidon, affirme qu'Hilda a reçu l'ordre directement de Poséidon de vaincre Athéna pour assouvir la soif de conquête de son dieu. Furieux, Siegfried se redresse et répond que c'était plutôt de la manipulation. Sorento ajoute que les terres du Nord, tout comme Asgard, ont toujours été sous l'égide du Sanctuaire Marin. Il s'agit en quelque sorte de terres colonisées, il est donc logique qu'ils suivent les ordres de Poséidon. Sorento continue en lui disant que cela aurait permis au peuple d'Asgard d'avoir une chance de quitter ces terres glacées pour connaître un avenir sous un soleil clément. Siegfried ôte alors son casque et Sorento reconnait qu'ils ont commis une erreur car jamais il n'aurait cru que les guerriers divins étaient si faibles et incompétents. Enervé par ces dires, Siegfried se relève mais Sorento lui dit d'abandonner car, accompagné d'Hilda, il va partir jurer allégeance à Poséidon. Une fois qu'ils auront nettoyé ce monde, lui et Hilda pourront montrer leur loyauté. Siegfried est stupéfait lorsque Hilda lui dit de laisser Sorento s'occuper du reste. Assistant au combat désespéré que mène Pégase face à Sorento, Siegfried finit par s'interposer, faisant face au chevalier. Bien que Sorento lui ordonne de les débarrasser du saint, Siegfried n'écoute plus, ayant pris sa décision. Sans dire un mot il lève sa main droite et se l'enfonce dans le ventre, arrachant son saphir d'Odin. Il admet alors que ce que disait Seiya était vrai, que leur véritable ennemi n'était pas les chevaliers mais Poséidon. Sorento affirme alors que Poséidon souhaite juste leur venir en aide. Furieux, Siegfried lui répond qu'ils se sont servis de la princesse Hilda pour s'emparer de la Terre mais aussi pour détruire Asgard. Ils sacrifient leur pays pour envahir le monde. Siegfried clame que la princesse Hilda aimait le royaume d'Asgard plus que quiconque et demande comment Poséidon a-t-il pu la changer ainsi. Il trouve cela impardonnable. Puis il se retourne vers Pégase et lui dit qu'il ne lui reste que peu de temps à vivre. Il laisse échapper son saphir à l'attention du chevalier et se tourne vers Sorento clamant qu'il va mettre toute sa colère, ainsi que celle de ses compagnons dans son dernier coup, puis il concentre son cosmos. Hilda lui ordonne d'arrêter mais Siegfried lui répond qu'il est l'heure de réellement la servir. Sorento le traite de fou, ce qui n'empêche pas Siegfried de lui foncer dessus. Toutefois Siegfried ralentit bien malgré lui lorsque Sorento commence à jouer de sa flûte. Ce dernier exécute alors son Dead End Symphony et Siegfried avance comme attiré par la mélodie. Il met ses mains sur ses oreilles pour ne plus l'entendre. Le marinas lui dit que c'est inutile car il ne parviendra pas à échapper au son de sa flûte. Siegfried se perce alors les tympans mais il continue de percevoir la musique qui atteint directement son cerveau, à sa grande stupeur. C'est alors que Sorento le frappe de plein fouet. Siegfried est repoussé mais ne chute pas et reprend sa marche inexorable. Il promet à Sorento de le tuer et se remet à courir vers lui. D'un formidable bond il saute sur Sorento qui le réceptionne en lui enfonçant une main dans sa poitrine. Toutefois Siegfried enserre Sorento dans ses bras puissants. Il concentre son cosmos et contracte ses muscles pour empêcher Sorento de retirer sa main. L'étoile Alpha se met alors à briller et projette une colonne d'énergie sur les deux guerriers qui s'élèvent alors. Sorento s'affole et conjure Siegfried de le lâcher avant de se mettre à hurler. Siegfried dit adieu à sa terre natale d'Asgard et confie à Seiya la princesse Hilda. Continuant à s'élever dans le ciel, Siegfried espère atteindre les portes du paradis et s'y retrouver auprès de ses amis. Puis il emporte Sorento dans le ciel dans un ultime sacrifice. | | | Armures | Box de l'étoile Dubhe | Armure de l'étoile Dubhe | | | Chevalier de l'étoile Dubhe | | | | | | | Constellation Dubhe (Alpha Ursae Majoris) | Alpha Ursae Majoris (α UMa / α Ursae Majoris) est la deuxième étoile la plus brillante dans la constellation de la Grande Ourse (en dépit de sa désignation de Bayer « alpha »). Elle est aussi appelée par son nom traditionnel Dubhe. Ce nom vient de l'Arabe dubb, « l'ours », de la phrase Dhahr ad-dubb al-akbar, voulant dire « le dos du Grand Ours ». Elle forme une partie du Chariot, et elle est la plus septentrionale des deux étoiles pointeuses, les deux étoiles de la Grande Ourse qui pointent en direction de α Ursae Minoris, l'étoile polaire. Cependant, elle ne fait pas partie du courant d'étoiles de la Grande Ourse. C'est une étoile multiple ; Dubhe A a évolué en une étoile en phase de combustion d'hélium, Dubhe B, une étoile de la séquence principale, orbite à une distance de 20 UA, ainsi que Dubhe C, a une distance de 8000 UA. | Histoire | Siegfried est un des personnages de la tétralogie de l'anneau des Nibelung de Richard Wagner constituée de mélanges entre les mythes germaniques et norvégiens. La plupart des histoires ayant trait à la légende des Nibelungen se déclinent donc en trois versions : l'opéra, un récit du moyen âge nommé la chanson des Nibelungen et enfin la mythologie nordique. Les personnages changent souvent de noms entre les versions, mais les grandes lignes directrices les concernant restent assez semblables. Le fait que le Mime de Saint Seiya ait un nom provenant de l'opéra de Wagner laisse supposer que certains guerriers d'Asgard ont surtout été choisis en référence à cette œuvre plutôt qu'à leurs versions mythologiques. Pour Siegfried, Wagner s'est inspiré du personnage de Sigurd présent dans la mythologie nordique. Siegfried a été élevé par le nain Mime, frère du gardien du trésor des Nibelungen et roi des nains Albérich, qui voulait en faire un héros capable de tuer le dragon Fafner, de sorte à pouvoir s'emparer du trésor que celui-ci gardait à son propre compte. Siegfried finit par tuer le dragon à l'aide de son épée Nothung, et se baigna dans le sang de celui-ci, ce qui le rendit quasi-invincible, la seule exception étant une petite zone dans son dos au niveau de son cœur sur laquelle une feuille s'était déposée lors de son bain. Siegfried comprit les paroles des oiseaux en buvant le sang du dragon, et ceux-ci lui confirmèrent ce que le monstre lui avait dit avant de mourir : Mime chercherait à le trahir en l'empoisonnant. Siegfried tua alors son père adoptif. Plus tard, Siegfried épousa la valkyrie Brünehilde et finit par être assassiné par son rival Hagen, fils d'Albérich, qui le tua d'une lance dans le dos. Dans l'opéra de Wagner, l'épée de Siegfried se nomme Nothung, dans la chanson des Nibelungen elle porte le nom de Balmung, et enfin dans la mythologie nordique elle se nomme Gram. Le Siegfried de Saint Seiya possède la même particularité que le Siegfried/Sigurd des récits, à savoir une invincibilité totale, à l'exception du point faible dans son dos. Contrairement aux histoires, il est ami avec Hagen, et la scène de la mort du Siegfried légendaire montrée dans Saint Seiya ne met pas de nom sur son assassin. Cette scène où il est pris en traître alors qu'il se désaltère au bord d'une rivière correspond en revanche à celle de la chanson des Nibelungen, et non à celle de l'opéra. L'histoire d'amour entre Siegfried et la valkyrie Brünehilde est suggérée entre le Siegfried de Saint Seiya et Hilda de Polaris, dont le nom provient de cette valkyrie, et le choix de l'étoile alpha sied bien à ce God Warrior étant donné que c'est l'étoile de la Grande Ourse qui est la plus proche de l'étoile polaire. Contrairement à ce que l'on pourrait penser au vu de sa notation, l'étoile Alpha de la Grande Ourse n'est pas la plus brillante de la constellation, celle-ci étant l'étoile Epsilon. On pourrait à priori se demander pourquoi Siegfried possède parmi ses techniques de combat l'épée d'Odin (Odin Sword). Dans la mythologie nordique, Gram est originellement forgée pour Odin, qui la transmet aux Volsung, ou plus précisément, la fiche dans l'arbre Branstock, le chêne du palais des Volsung et défie les princes de la retirer, ce que seul Sigmund (père de Siegfried) parvient à faire. Ultérieurement, Sigmund affronte un vieil homme (en réalité Odin) dans une bataille contre un roi adverse, et Odin brise l'épée qu'il lui avait "offert" des années plus tôt. Sigmund est capturé. Mourant, il dit à son épouse Hjördís que son fils (Sigurd/Siegfried) devra un jour reforger l'épée à partir des fragments afin d'obtenir une arme très puissante. Dans la version de Wagner, Siegfried confronte l'épée reforgée à la lance d'Odin, qui tente de l'empêcher d'aller rejoindre Brünehilde, et c'est cette fois ci-l'arme tenue par le dieu qui est détruite par l'épée. Dans Saint Seiya, au lieu de nommer la technique de Siegfried "Gram", "Balmung" ou "Nothung", les scénaristes ont plutôt fait référence au premier propriétaire de l'épée, autrement dit, Odin. | Image de la constellation Dubhe | | | | |