| Sorrento de la Sirène | | | (14 ans)
174 cm / 60 kg
Origine Finlande
Chevaliers des Mers (Marinas)
 | | | Techniques |
Dead End Symphony | |
Dead End Climax |  | |  | | Sorrento joue sur sa flûte une symphonie à priori inoffensive, mais qui en réalité affaiblit les cinq sens de son adversaire et diminue son Cosmos (contre Aldébaran Sorrento prétend que le Cosmos de celui-ci est divisé par 100). La musique jouée atteint directement le cerveau de l'adversaire, rendant inutile toute tentative de bloquer le son, comme Shun avait voulu le faire avec le Rolling Defense. Se crever les tympans ne résout rien non plus. En plus de son affaiblissement, la victime ressent une forte douleur dans sa tête et voit des illusions de fées volant autour de lui. | | C'est la partie finale qui conclue le Dead End Symphony. Sorrento peut briser les corps et les Cloths de ses adversaires affaiblis en la jouant. La technique envoie en réalité de puissantes ondes sonores. | | | | | | | Déscription | | Chevalier Marinas de l'armure de la Sirène |  |  Lorsqu'il apparaît en Asgard, Sorento se comporte comme un envahisseur en territoire conquis. Il est sûr de lui et se sent supérieur aux chevaliers d'Athéna et aux guerriers divins qu'il juge faibles.
Ce sentiment de supériorité et son manque de psychologie font de lui un personnage insolent qui s'attirera les foudres de Siegfried.
Par la suite Sorento est convaincu que sa cause est juste ... du moins tant qu'il pense que ce que font les marinas est de la volonté de Poséidon. Lorsque les premiers piliers du Sanctuaire Sous-marin tombent, il commence à se poser des questions et soupçonne le général Dragon des Mers de diriger les marinas pour son propre but.
Finalement lorsqu'il a la confirmation que cette bataille n'est pas de la volonté de Poséidon, il préfère précipiter la chute du Sanctuaire Sous-marin. Ceci démontre tout de même une chose. C'est que Sorento n'est pas un fanatique avec des oeillères. Il est parvenu à accepter l'amour d'Athéna et comprendre que leurs agissements étaient mauvais. |
 Etant l'un des sept généraux des mers au service du dieu Poséidon, Sorento le sert avec ferveur. Il embrasse la cause de son dieu qui désire étendre sa domination sur les terres émergées du globe.
Pour celà, son dieu asservit la prêtresse d'Odin, Hilda de Polaris, afin qu'elle lance ses guerriers divins contre les chevaliers d'Athéna. Néanmoins son plan ne fonctionne pas comme prévu et Sorento est envoyé à la surface pour leur prêter main forte.
Arrivé en Asgard, Sorento s'immisce sans problèmes dans la salle du trône de la prêtresse. Il l'y interpelle en lui suggérant de ne pas sous-estimer les chevaliers d'Athéna. Surprise et ne le voyant pas, Hilda demande qui est là. Sorento lui répond simplement qu'il est envoyé par celui qui lui a remis l'anneau des Nibelungen. Hilda est pétrifiée et ne prononcera pas d'autres paroles.
Alors que l'ultime guerrier divin, Siegfried de Dubhe, met du temps à achever les chevaliers de bronze parvenus jusque sur la place de la statue d'Odin, Hilda l'y rejoint pour voir ce qu'il en est. Sorento la suit mais ne se montre pas tout de suite.
En effet, il attend que le dernier guerrier divin soit apparemment hors d'état de nuire aux chevaliers pour faire une entrée majestueuse au son de sa flûte.
S'arrêtant de jouer, il rappelle à Hilda qu'il l'avait prévenue de ne pas sous-estimer ces chevaliers.
Il rejoue un peu de flûte tout en s'avançant et se présente au chevalier Pégase comme étant envoyé du Sanctuaire Marin contrôlé par Poséidon et l'un des sept généraux des mers.
Voyant que le chevalier ne connaît pas l'existence du Sanctuaire Marin, Sorento lui dit que ce monde est contrôlé sur terre par Athéna, en enfer par Hadès, au paradis par Zeus et Poséidon contrôle l'ensemble du monde sous-marin. Il dit également qu'à la demande de Poséidon il est remonté à la surface pour aider la princesse Hilda et Siegfried. Sorento continue son discours et explique que si Hilda n'avait pas échoué dans sa mission de tuer Athéna, il ne lui aurait pas été nécessaire de venir jusqu'ici.
Le chevalier en déduit alors que c'est Poséidon qui a donné l'anneau des Nibelungen à Hilda et ainsi contrôlé ses faits et gestes. Sorento lui répond que Poséidon compte étendre son pouvoir sur les terres fermes. Etant donné qu'Athéna les contrôlait déjà, Poséidon confia la tâche de vaincre Athéna et de prendre le contrôle de la Terre à la princesse Hilda. Revenu à lui, Siegfried intervient et prétend que c'était plutôt de la manipulation. Sorento lui répond que les terres du Nord, tout comme Asgard, ont toujours été sous l'égide du Sanctuaire Marin. Il s'agit en quelque sorte de terres colonisées. Il est donc logique qu'ils suivent les ordres de l'Empereur Poséidon.
De plus cela aurait permis au peuple d'Asgard d'avoir une chance de quitter ces terres glacées pour connaître un avenir sous un soleil clément.
Toutefois Sorento admet qu'ils ont commis une faute car jamais il n'aurait cru que les guerriers divins se révèleraient si faibles et incompétents. Voyant que ses paroles ont énervé Siegfried qui s'est relevé, Sorento lui dit d'abandonner. Accompagné d'Hilda, il va partir jurer allégeance à Poséidon et une fois qu'ils auront nettoyés ce monde, lui et Hilda pourront montrer leur loyauté.
Le chevalier intervient alors et dit qu'il ne laissera personne l'arrêter. Sorento lui répond que puisqu'il tient tant à mourir, il va l'achever. Il porte alors sa flûte à ses lèvres et joue. La musique commence à saper les forces du chevalier mais ce dernier se reprend et fonce sur Sorento avec son Pegasus Ryu Seï Ken. Sorento esquive l'attaque en usant d'un subterfuge de dédoublement.
La tromperie ne décourage pas le saint qui relance une offensive avec son Pegasus Ryu Seï Ken. Sorento esquive cette seconde attaque exactement de la même manière que la première fois. Puis, d'un coup de main, il frappe Pégase qui mord la poussière. Le voyant se relever péniblement, Sorento lui dit que c'est inutile et arme son bras. Il s'interrompt en voyant Siegfied se retourner vers Pégase.
Hilda intervient et rappelle à son guerrier divin que sa mission est maintenant terminée.
Sorento lui dit que ça ne pose pas de problème car il pense que Siegfried souhaite juste laver l'honneur bafoué des guerriers divins. Sorento s'adresse alors à Siegfried et lui demande de les débarrasser du chevalier. Sans dire un mot Siegfried s'arrache violemment son saphir d'Odin pour le confier au saint.
Ce dernier admet que les chevaliers avaient raison et que leur véritable ennemi était Poséidon. Entendant cela, Sorento prétend que Poséidon souhaite juste leur venir en aide. Siegfried lui répond alors qu'ils se sont servis de la princesse Hilda pour s'emparer de la Terre mais aussi pour détruire Asgard. Et que cela est impardonnable. Hilda tente de l'arrêter mais le guerrier divin est bien déterminé à venger ses compagnons. Voyant Siegfried lui foncer dessus, Sorento le traite de fou et tout en souriant lui dit qu'il n'aurait jamais pensé qu'il défierait ainsi l'Empereur Poséidon.
Toutefois il est prêt à lui infliger une mort lente et douloureuse. Sorento se remet alors à jouer de sa flûte. L'effet est immédiat puisque Siegfried ralentit. C'est alors que Sorento exécute son Dead End Symphony attirant vers lui Siegfried hypnotisé.
Ce dernier met ses mains sur ses oreilles. Sorento lui dit que c'est inutile car ce n'est pas en se bouchant les oreilles qu'il parviendra à échapper au son de sa flûte et lui demande de cesser de résister. Siegfried s'arrête alors et se perce les tympans de ses index. Sorento lui explique alors que c'est une absurdité car sa musique atteint directement le cerveau. Profitant de l'état de faiblesse du guerrier divin, Sorento abat son bras sur lui et le frappe de plein fouet.
Mais à sa grande surprise, le guerrier divin recule mais ne chute pas et reprend sa marche inexorable vers lui. Sorento se demande comment son adversaire peut encore bouger après avoir perdu ses cinq sens.
Siegfried lui promet alors de le tuer et reprend même sa course. D'un bond il rejoint Sorento qui le reçoit en lui enfonçant une main dans la poitrine. Toutefois Siegfried l'enserre dans ses bras puissants et concentre son cosmos.
Surpris par l'étonnant cosmos qui se dégage du corps de Siegfried, il tente de retirer sa main de la poitrine du guerrier divin mais celui-ci contracte ses muscles pour le retenir. Sorento commence alors à s'affoler quand une colonne d'énergie les baigne tous les deux et qu'ils commencent à s'élever.
Sorento conjure Siegfried de le lâcher. Mais le guerrier divin est bien décidé à l'emmener avec lui dans la mort. Continuant à s'élever dans le ciel, Sorento s'affole de plus en plus et se met à hurler avant de disparaître dans le ciel avec Siegfried. Durant la folle ascension, Sorento parvient enfin à retirer sa main de la blessure de Siegfried et recommence dès lors à jouer de sa flûte. Siegfried perd alors ses forces, relâche son étreinte mortelle et continue sa course suicidaire seul, laissant retomber Sorento vers le sol.
Sanctuaire Sous-Marin
 Sorento retourne au Sanctuaire Marin en ayant, semble-t-il, perdu son casque.
Il surprend Dragon des Mers bien loin de son pilier. Il attire son attention en jouant de la flûte. Il lui demande où il comptait se rendre en laissant le pilier de l'océan Atlantique Nord sans défense. Dragon des Mers lui répond que le chevalier Phénix voulait se rendre directement voir Poséidon et qu'il les en a débarrassé.
A présent que tous les chevaliers sont éliminés, c'est comme si le monde était déjà aux mains de Poséidon. Soupçonneux, Sorento lui demande s'il en est bien sûr.
Sorento résume la situation, comme quoi ils se sont rassemblés selon la volonté de Poséidon et leur but était d'éradiquer la race humaine qui avait souillé la Terre pour la repeupler uniquement avec des personnes au coeur pur. Ainsi la confrontation avec les chevaliers d'Athéna était inévitable mais Sorento lui demande si ce combat est vraiment de la volonté de Poséidon.
En effet, durant le combat entre Poséidon et Athéna, ils pourraient fort bien périr tous les deux, laissant alors la main mise sur la Terre à quelqu'un désireux de la gouverner. Sans hausser le ton, Dragon des Mers lui demande où il veut en venir. Sorento lui répond alors que depuis le début il a pris des directives à la place de Poséidon en tant que chef des généraux et ils ont tous agi selon ses ordres.
Mais finalement ne serait-ce pas lui qui aurait tout orchestré depuis le début, y compris la résurrection de Poséidon ? Menaçant, Dragon des Mers se rapproche de lui et lui dit de cesser ses balivernes car elles pourraient lui coûter la vie.
Sorento est quelque peu intimidé par le ton de Dragon des Mers lorsque soudainement, ils sont interrompus en ressentant un terrible cosmos se dirigeant vers les deux derniers piliers de l'empire encore debout, les leurs.
Remettant leur discussion à plus tard, les deux généraux se séparent et se précipitent vers leur pilier respectif.
Combat contre Shun d'Andromède
 Sorento arrive à son pilier juste après Shun d'Andromède venu le détruire et avant qu'il n'ait pu esquisser le moindre geste envers lui. Sorento se rapproche calmement, en jouant de la flûte. L'attention du chevalier obtenue, celui-ci est surpris de le revoir car il aurait dû mourir avec Siegfried.
Sorento ricane et admet que ça ne s'est joué à pas grand chose. Puis Sorento le félicite d'être venu jusqu'ici mais il semblerait qu'il n'ait plus la force de se battre. Le chevalier lui demande s'il est celui qui protège le pilier de l'Atlantique Sud. Sorento le lui confirme et lui dit alors que la bataille est finie et qu'il n'a aucune intention de se battre contre lui alors qu'il est plus mort que vif.
Le chevalier lui dit que tant qu'un seul d'entre eux est encore debout, la bataille n'est pas finie et il lui envoie sa chaîne nébulaire. Presque nonchalamment, Sorento repousse la chaîne en créant un bouclier d'énergie et fait tomber le chevalier à l'autre bout. Sorento lui répète qu'il n'a plus la force de combattre et que s'il ne veut pas mourir qu'il s'en aille.
Le chevalier lui répond qu'il n'abandonnera pas tant qu'il sera en vie.
Finalement résigné, Sorento décide de vraiment le combattre. Il entame donc son Dead End Symphony. Voyant le chevalier se boucher les oreilles, Sorento lui dit que c'est inutile. Soudain un chant interrompt Sorento qui cesse alors de jouer. Ressentant le cosmos divin d'Athéna à travers ce chant, Sorento est pétrifié par la peur qu'il lui inspire.
Reprenant son calme, Sorento entend le chevalier Andromède gémir. Il lui dit que sa vie n'a été prolongée que de quelques instants grâce au chant d'Athéna mais cela ne change rien à son destin qui est de mourir. Sorento abat alors sa flûte comme une épée d'estoc sur le chevalier à terre.
Encore vif, le chevalier parvient à se retourner et contrer le coup avec ses chaînes. Sorento lui dit que malgré son apparente fragilité il est plutôt coriace.
Son adversaire lui répète qu'il n'abandonnera ni ne fuira. Le chevalier le repousse alors d'un coup de pied. Se réceptionnant sans mal Sorento rebondit et frappe son adversaire d'un grand coup de flûte à l'épaule.
Andromède ayant mis les genoux à terre sous le coup, Sorento en profite et le frappe cette fois au ventre. Sorento lui dit qu'il n'a plus de temps à perdre avec lui. En effet il ressent depuis un moment un étrange cosmos émaner du temple de Poséidon et qu'il doit s'y rendre au plus vite.
 Pour ce faire il va le tuer une bonne fois pour toutes. Voyant son adversaire dresser son Rolling Defense et pensant ainsi faire obstacle aux ondes sonores de sa flûte, Sorento ironise et joue à nouveau son Dead End Symphony.
Dès les premières notes, la défense de l'ennemi tombe en morceaux. Tandis qu'Andromède hurle de douleur, Sorento lui dit que sa mélodie n'est pas vulgairement transportée par l'air.
Le son de sa flûte retentit directement au cerveau de ses ennemis. Alors qu'il va jouer les dernières notes, un courant l'enveloppe soudainement. Le chevalier lui dit qu'il s'agit du courant nébulaire et qu'il ne peut désormais plus faire un seul geste. Effectivement, Sorento constate avec stupeur qu'il ne peut plus bouger d'un centimètre.
Sachant qu'il ne lui reste plus qu'une note à jouer pour en finir avec son ennemi, Sorento bande ses muscles pour rapprocher la flûte de ses lèvres. Il sent alors le courant se renforcer et le paralyser davantage.
Andromède lui dit alors que son courant peut se changer en tempête mais que son but n'est pas de le tuer. Il lui demande alors de reconnaître sa défaite et de se retirer.
Sorento ironise et lui dit qu'il ne tournera jamais le dos à l'ennemi. Et c'est sa vie qui va s'achever car il ne lui reste plus qu'un souffle à sortir pour finir son attaque. Le chevalier le conjure d'arrêter. En effet il pense sincèrement qu'il n'est pas une mauvaise personne car en aucun cas il ne pourrait jouer aussi admirablement.
Sorento avoue qu'il n'aurait jamais pensé recevoir une telle leçon de morale de sa part mais toutefois il reste tout aussi déterminé à en finir avec lui. Alors qu'il va entamer son Dead End Climax, le courant se renforce, se change en tempête et expédie Sorento se fracasser contre son pilier, son écaille ne semblant pas subir de dégâts. Sorento retombe au sol en laissant échapper sa flûte.
Fin de la Guerre
Ayant survécu à l'attaque du bronze saint, Sorento se relève quelques minutes plus tard. Il ramasse sa flûte et se dirige vers le dernier pilier encore debout, celui de l'Atlantique Nord, celui du Dragon des Mers.
Arrivé en même temps que le jeune Kiki portant l'armure d'or de la Balance, il entend les confessions forcées de Dragon des Mers sous l'influence d'une technique du bronze saint ici présent, Ikki du Phénix.
Ainsi Sorento entend comment le général prénommé Kanon, frère du gold saint des Gémeaux, fut emprisonné par son propre frère, comment il réveilla Poséidon et comment il l'a manipulé pour assouvir ses propres desseins.
 Soudain, alors qu'il n'a pas encore révélé sa présence aux deux combattants, un terrible cosmos s'échappe du Temple de Poséidon. Kanon dit que le dieu marin s'est complètement réveillé et que plus personne ne peut l'empêcher de détruire complètement la Terre.
Sorento lui dit alors que cela ruine ses projets, dévoilant ainsi sa présence. Puis Sorento demande au jeune Kiki d'approcher l'armure de la Balance. Celui-ci ne se fait pas prier et envoie de suite l'un des boucliers de l'armure à Phénix. Kanon lui demande, en hurlant, ce qu'il est en train de faire.
Sorento lui répond calmement qu'il va lui demander de détruire ce dernier pilier. Kanon lui rétorque que sans ce pilier, le Main Blade Winner n'aura plus aucune protection et lui demande donc s'il est prêt à aider leurs ennemis à détruire le Sanctuaire Sous-marin. Toujours aussi calme, Sorento lui répond qu'il sait désormais que cette bataille n'est pas la volonté de leur empereur mais la sienne et que tout ceci n'a plus aucuns sens et il vaut encore mieux que ce Sanctuaire soit à jamais détruit. Sur ces mots le saint lance le bouclier contre le pilier et le détruit sans difficultés. Après quoi le saint dit au jeune enfant d'amener la gold cloth aux autres tandis que lui a encore quelque chose à demander à Kanon, comme comment maîtriser à nouveau Poséidon.
Mais Kanon ne lui répond que par des dizaines et des dizaines de coups contre lesquels le saint ne peut rien. Voyant qu'il ne peut plus se relever et qu'il ne pourra donc pas en finir avec Kanon, Sorento porte sa flûte à ses lèvres et commence à jouer. Kanon lui demande si après l'avoir aidé à détruire le pilier de l'Atlantique Nord, il va sauver Phénix.
Sorento lui répond qu'il n'a pas l'intention de sauver ce saint mais il ne peut pas non-plus le laisser vivre ainsi. En effet pour avoir trompé tous les marinas morts au combat, qui s'étaient rassemblés autour de Poséidon parce qu’ils croyaient en la création d'un monde meilleur, il mérite la mort. Alors qu'il va entamer son Dead End Symphony, Sorento est interrompu par Phénix. Celui-ci se relève et leur rappelle qu'il a quelque chose à demander à Kanon : comment enfermer Poséidon ? Kanon lui répond qu'il n'existe aucun moyen de l'arrêter.
Ikki le détrompe en lui disant que le seul moyen est le vase d'Athéna et lui demande donc où il se trouve. Kanon finit par lui dire que le vase se trouve aux côtés d'Athéna, au sein du Main Blade Winner. Le saint lui tourne le dos en lui disant que combattre un homme comme lui n'a plus aucun sens et il part.
Sorento se lève alors et avoue à Kanon qu'il pensait que la réapparition d'Athéna était synonyme du déclin du monde. Mais même s'il ne lui reste que très peu de temps à vivre, son cosmos ne cesse de s'amplifier. Elle continue de se battre parce qu’elle aime toute vie sur cette planète et que personne ne peut nier cette réalité.
Il dit alors à Kanon que s'il refuse de voir le cosmos d'Athéna, c'est son choix mais comme vient de le dire Phénix, il n'est plus un homme digne d'être combattu.
Sorento se retire alors du Sanctuaire Sous-marin laissant les chevaliers et leur déesse remporter la victoire face à Poséidon.
 Quelques temps plus tard, alors qu'ils sont en pleine tournée pour apaiser les souffrances des défavorisés, Sorento se rend soudainement compte que le comportement de Julian a changé ... comme si Poséidon s'était à nouveau incarné en lui. Et pour cause puisque tel est le cas.
Toutefois le dieu lui dit qu'il s'est contenté de donner un peu d'aide aux saints d'Athéna. Sorento ne comprenant pas ce qu'il veut dire, Poséidon lui explique que cette éclipse qu'ils observent en ce moment est l'oeuvre d'Hadès qui veut transformer ce monde en monde de ténèbres. Parcequ'il est toujours retenu pas le sceau d'Athéna il n'a pu leur venir en aide uniquement en permettant à quelques gold cloth de passer la dimension intermédiaire pour arriver en Elision.
A peine eut-il fini de prononcer ces quelques phrases que la conscience de Poséidon s'évanouit et Julian revient à lui. Avant de le suivre, Sorento reste quelques secondes en arrière et prie sincèrement pour que les saints remportent la victoire.
Toujours au Cap Sounion, ils observent l'éclipse devenir totale. Puis quelques instants plus tard, le Soleil réapparaît ... synonyme de la défaite d'Hadès.
| | | | | Armures |
Box de la Sirène |
Armure de la Sirène |  |  |
Chevalier de la Sirène | | | | | | | | | Pilier Océan Atlantique Sud | L'océan Atlantique est l'un des cinq océans de la Terre. Sa superficie de 106 000 000 km2 en fait le deuxième par la surface derrière l'océan Pacifique.
Il s'est formé par l'éloignement de plaques tectoniques il y a 180 millions d'années. Pendant de nombreux siècles, il a constitué le point de départ des explorations européennes.
Aujourd'hui, il est toujours une voie de communication importante pour les pays qui le bordent et occupe un rôle géopolitique important.
| | Histoire |
L'océan est né pendant l'extinction du Trias-Jurassique. Sa formation résulte de la fragmentation, il y a 180 millions d'années, du supercontinent de la Pangée, suivie de la séparation descontinents africain et sud-américain d'une part, eurasien et nord-américain d'autre part. Sa vitesse d'expansion est d'environ deux centimètres par an.
L'océan Atlantique occupe un long bassin s'étendant du nord au sud, borné à l'ouest par les Amériques, à l'est par l'Europe et l'Afrique. Il atteint une profondeur maximale de 8 605 m à lafosse de Milwaukee près de Porto Rico. En son centre se trouve une chaîne montagneuse sous-marine, la dorsale médio-atlantique.
La principale caractéristique du fond de l'océan Atlantique est une longue chaîne de montagnes sous-marine appelée la dorsale médio-atlantique.
Elle s'étend depuis l'île Jan Mayen au nord jusqu'à environ 58° de latitude sud, pour une largeur maximale de 1 600 km.
Le centre de la dorsale est occupé par un fossé profond de plus de 1 000 m et large de 25 à 50 km.
De part et d'autre de ce fossé, la dorsale s'élève à moins de 1 500 m au-dessous du niveau de la mer, plusieurs montagnes s'élèvent même au-dessus de l'eau et forment des îles.
L'Atlantique Sud possède une dorsale additionnelle, la dorsale de Walvis.
La dorsale médio-atlantique partage l'océan Atlantique en deux grandes dépressions dont la profondeur varie entre 3 700 et 5 500 mètres. Des dorsales transverses les divisent en plusieurs bassins.
L'océan Atlantique semble être le plus jeune des océans de la planète. Il semble qu'il soit au maximum âgé de 180 millions d'années, lorsque les continents actuels se sont formés suite à la fragmentation du supercontinent Pangée dû à un processus de divergence et que la lithosphère océanique commença à être créée.
L'Atlantique Nord s'est ouvert 100 millions d'années avant l'Atlantique Sud (70 millions d'années environ).
L'exploration du littoral atlantique a commencé dès que les premières installations humaines s'établirent sur ses côtes. Mais en ce qui concerne la traversée de l'océan, il faut attendre du côté nord européen le xe siècle et les explorations audacieuses à partir du Groenland faites par des navigateurs vikings. Ils atteignent le continent nord-américain à la hauteur de Terre-Neuve (L'Anse aux Meadows), terre qu'ils appelaient Vinland.
La côte africaine reste inaccessible aux explorateurs antiques et médiévaux au-delà du cap Bojador (Sahara occidental), où l'océan est surnommé mer des Ténèbres. Le Portugais Gil Eanes est le premier à franchir le cap en 1434 et à pouvoir revenir avec son bateau. Il ouvre la voie au contournement du continent africain pour rejoindre les Indes.
La toute première traversée moderne est l'œuvre de Christophe Colomb et ses équipages en 1492.
| | Image Océan Atlantique Sud |  | | | | | Références et mythologie | Les sirènes étaient des créatures mi-femmes, mi-oiseaux, issues de la mythologie grecque, qui vivaient sur l'île de Sirenum et émettaient un chant menant les marins à leur perte. Selon Ovide, elles étaient de jeunes femmes compagnes de Perséphone, et lorsque celle-ci fut enlevée par Hadès, Déméter leur offrit des ailes pour retrouver la disparue.
Leur chanson était un appel perpétuel à Perséphone et leur apparence était celle d'oiseaux à tête de femme (ce qui ressemble aux Harpies) ou de femmes à ailes d'oiseaux. Les légendes en font ensuite des monstres cannibales, décrits comme tels par la magicienne Circé, et leur chant envoûtait alors l'esprit des marins, ce qui amenait leurs bateaux à s'échouer dans les zones rocheuses où vivaient les créatures.
Les malheureux étaient alors dévorés, ou bien, selon les versions, mourraient tout simplement de faim en restant écouter les mélodies de leurs geôlières. À l'époque médiévale, la forme des Sirènes change et celles-ci sont alors décrites comme des femmes dont la partie inférieure du corps est une queue de poisson. Cependant, cette nouvelle apparence physique est universelle et bien d'autres cultures imaginaient déjà des créatures marines mi-femme mi-poisson. En français, le terme "Sirène" concerne les deux représentations, tandis que le Japonais ou l'Anglais ont des termes bien distincts pour différencier les "Sirènes oiseaux" des "Sirènes poissons".
La Scale de la Sirène correspond aux Sirènes de l'antiquité, et le nom de Sorrento n'est pas choisi au hasard car il existe bien une ville de Sorrento en Italie, qui comporte justement depuis l'antiquité un temple dédié au culte des Sirènes, ce qui est à l'origine du nom de la ville. L'autre grand temple présent dans Sorrento a été ajouté à la période romaine et est dédié à Athéna. Est-ce que ce détail a pu inciter Kurumada à faire de Sorrento un Marina qui finit par aider les Bronze Saints à sauver Athéna ?
Sorrento est né en Autriche, pays de l'illustre Wolfgang Amadeus Mozart dont un opéra célèbre est justement La flûte enchantée.
Les représentations antiques des Sirènes les dépeignaient en une Sirène qui chante, une Sirène jouant de la lyre, et la troisième jouant de la flûte (aulos). Euripide parle aussi de la flûte des Sirènes dans la tragédie Hélène. On peut donc imaginer que la flûte de la Scale vient de là.
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